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  • grandheron

29 janvier 1979 : Rapport de la Commission Pépin-Robarts sur l'unité canadienne

Mise sur pied par le gouvernement libéral de Pierre Elliott Trudeau à la suite de l'élection du Parti québécois à Québec, le 15 novembre 1976, la Commission sur l'unité canadienne est coprésidée par l'ex-ministre libéral, Jean-Luc Pépin , et l'ex-premier ministre ontarien, John Robarts.
Son mandat consiste à trouver des solutions pour renforcer l'unité canadienne.
Les deux problèmes les plus urgents pris en considération dans l'analyse de l'unité canadienne sont la dualité linguistique et le régionalisme.
Deux ans après sa création, la Commission Pépin-Robarts sur l'unité canadienne dépose son rapport.
Celui-ci recommande, entre autres, l'autonomie de chaque province dans le traitement des droits linguistiques

Quelques mois après avoir déclaré que le séparatisme québécois était mort, le premier ministre canadien Pierre Elliott Trudeau voit ses projets de rapatriement de la Constitution contrariés par l’élection du Parti Québécois en novembre 1976.
Pour gagner du temps, il met sur pied la Commission de l’unité canadienne – mieux connue sous le nom de « commission Pépin-Robarts » – dans le but d’identifier les problèmes qui menacent l’intégrité du Canada et de proposer des solutions.
Le rapport Pépin-Robarts, présenté le 26 janvier 1979, le surprend : on y recommande que les lois linguistiques deviennent une compétence provinciale, que les pouvoirs du fédéral soient réduits, que le Sénat soit transformé en un conseil de la fédération dont les membres seraient nommés par les provinces, lesquelles se verraient également consultées pour la nomination des juges à la Cour suprême.
Le rapport émet aussi l’opinion que Trudeau devra négocier si la majorité des Québécois votent OUI au référendum de 1980...

Voir ce film en anglais:




Observations:


Il n'était pas bête du tout le rapport de la Commission Pépin-Robarts.


Mais le politicard Pierre Elliott Trudeau - qui a lui-même instauré la Commission en question - l'a reniée, car il poursuivait d'autres lubbies et un agenda mis au service de ses associés d'affaires du Commonwealth.



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